Un article paru sur le site du journal « Les Echos » le 4 juillet 2011 aborde une étude menée par des chercheurs américains du Southwestern Medical Center de Dallas sur l’influence du stress sur la sécrétion de Ghréline.
Les chercheurs ont montré que des souris soumises à un stress chronique choisissent préférentiellement des aliments très caloriques et riches en graisses. Ce comportement alimentaire serait en rapport avec une sécrétion plus importante de Grhéline, une hormone qui peut être à l’origine d’une augmentation de l’appétit et d’obésité.