Selon une nouvelle étude britannique, les urbains vivant dans un environnement où la nature est plus fortement présente disposeraient d’une meilleure santé mentale et consommeraient moins d’antidépresseurs.
Atlantico interroge le Dr Philippe Rodet à ce sujet :
Philippe Rodet, médecin, passionné par le bien être, auteur du livre « Le Bonheur sans ordonnace » nous a d’ailleurs confirmé la crédibilité de cette étude. « On a déjà démontré que la présence d’espaces verts rend plus heureux, il est donc logique que cela joue sur la dépression et la prescription d’antidépresseurs. En effet, selon une étude britannique menée par l’équipe de Mathew White, psychosociologue à l’Université d’Exeter et publiée dans la Revue Psychosocial Science, en juin 2013, la proximité d’un espace vert est une source de bonheur importante, estimée au 1/3 du bonheur apporté par un mariage ou au 1/10 ème du bonheur inhérent à une embauche » détaille-t-il.