Un article paru sur le portail canadien « cyberpresse » fait état d’une étude québécoise, menée en coopération avec la fondation Mira, visant à mesurer les bénéfices liés à l’introduction d’un chien dans les familles dont un enfant souffre de troubles du comportement ou d’autisme.
Il semblerait que la présence du compagnon à quatre pattes soit bénéfique pour l’ensemble des membres de la famille, l’animal parvenant même à réduire le stress des parents.
Quant aux enfants en question, le chien contribuerait aussi à modifier les troubles alimentaires ou de sommeil.
Les chiens sont choisis essentiellement parmi deux races : les labradors retriever et les bouviers bernois ainsi que les chiots issus du croisement entre les deux. « Tranquilles, sociables et doux, ils possèdent l’avantage de bien réagir à l’imprévu : ils ne vont ni japper ni mordre face aux réactions et mouvements brusques des enfants ».