Selon un article paru sur le site de « Radio Canada », le 8 décembre 2009, des expériences menées par des chercheurs américains des Universités de Chicago et Yale ont permis d’établir que l’isolement social et le stress vécu par des rats rendent le cancer du sein à la fois plus probable et agressif.
Selon ces chercheurs, les données de ces expériences pourraient être transposées aux humains…
Dans un précédent article, on montrait que les femmes qui avaient beaucoup de stress et un faible niveau de soutien social durant leurs grossesse avaient plus de chance de connaître un travail prématuré ou une éclampsie.
Dans un autre article, on apprenait que l’optimisme pouvait diminuer le risque de développer un cancer du sein.
Optimisme et soutien social, voilà peut-être les remèdes de demain…