Un article paru sur le site « Futura-Santé » le 1er octobre 2010 aborde l’influence du stress inhérent à une carence affective dans l’enfance sur le développement futur de pathologies neurologiques majeures.
En effet, selon une étude menée chez le rat par une équipe de l’Université McGill de Montréal et publiée dans The Journal of Neurosciences, un manque d’amour maternel pourrait générer un stress capable de perturber l’expression d’un gène « GAD1 » codant pour le GABA, seul neuromédiateur apaisant de l’organisme.
Cette absence d’expression du gène codant pour le GABA persiste à l’âge adulte et pourrait expliquer la survenue de certaines pathologies neurologiques.