Sur le site canadien, Psychomédia, un article en date du 19 janvier aborde le lien entre stress et le Syndrome de Fatigue Chronique.
Ce syndrome touche essentiellement les femmes. Et une étude montre que chez les femmes souffrant de ce syndrome, les taux de cortisol le matin sont plus bas que chez des femmes en bonne santé.
Or la période qui suit le réveil est considérée comme la période la plus stressante de la journée. Il semblerait donc que les femmes victimes de ce syndrome réagissent au stress sans augmenter leur taux de cortisol, ce qui est le contraire de ce qui se passe en général dans l’organisme.
Cela irait dans le même sens qu’une étude récente réalisée par des chercheurs de l’Université Cornell qui prouvait que des femmes victimes de traumatismes pouvaient, des années après, réagir au stress sans augmenter leur niveau de cortisol, voire en le diminuant.

Psychomédia