Dans un article paru sur le site « Cordis » le 24 juin 2008, on apprend qu’une étude « menée par le centre Helmhotz de recherche sur l’environnement (UFZ) à Leipzig, en Allemagne, vient d’établir un lien important entre le stress infantile et le risque accru de développer des allergies plus tard dans la vie ».
Il semblerait que des enfants ayant vécu des événements stressants comme un déménagement ou la séparation des parents auraient des concentrations sanguines plus élevées d’un neuropeptide, le VIP (peptide intestinal vasoactif) . Ce taux plus élevé de neuropeptide pourrait expliquer le risque accru de développer des réactions allergiques ultérieures.