Selon un article paru sur le site du « Nouvel Observateur », le 21 août 2008, un stress très important, comme une catastrophe naturelle, une attaque terroriste ou un deuil soudain, survenant chez la maman durant le deuxième mois de grossesse, augmenterait de manière significative le risque de donner naissance à un enfant qui développera une schizophrénie à l’adolescence, risque d’autant plus important que le sexe du fœtus est féminin. C’est ce que démontre une étude publiée le 21 août dans le journal BioMed Central Psychiatry.