Un article paru sur le site canadien « Conseiller » aborde une étude réalisée par Annie Barreck, étudiante au doctorat de l’Université de Montréal, au sujet de l’influence des moyens de transport et de la durée des déplacements sur la propension à souffrir d’épuisement professionnel.
Selon cette étude, les grands trajets en voiture seraient d’autant plus générateurs de stress que l’on est le passager et donc sans possibilité d’action.
La durée de trajet idéale selon cette enquête serait de 20 minutes de route. Le risque d’épuisement professionnel augmenterait si le trajet dépasse les 35 minutes.
Les résultats de cette enquête sont légèrement différents de ceux d’une récente étude réalisée en France, certainement en raison du contexte géographique de chaque pays.