Un article publié sur le site belge «Passion Sante» le 12 août 2015 aborde une étude réalisée par l’Université de Montréal au sujet de la contrainte des transports pour se rendre sur son lieu de travail et leurs répercussions.
De précédents articles, l’un publié le 02 mai 2015 et l’autre le 07 juin 2015, mentionnaient déjà les risques de stress et d’épuisement professionnels consécutifs aux trajets.
Une étude Québécoise a ainsi comparé sur 2000 personnes, différents modes de transport et le stress perçu en fonction du moyen choisi.
Que ce soit les trajets en voiture, en transports en commun, à pied ou en vélo, se déplacer des zones rurales vers les centres villes, entraîne plus de stress pour les personnes qui résident en banlieues.
Les bouchons, les multiples changements de bus ou de trains, les risques de retard, l’absence d’installations sécurisées, la durée du trajet, tous ces facteurs contribuent à provoquer du stress et peuvent à long terme, impacter l’efficacité au travail et développer un épuisement professionnel. Les auteurs de l’étude conseillent aux employeurs d’être les plus flexibles possibles afin de tenir compte des trajets de leurs employés, « leur efficacité serait encore accrue et leur santé psychologique mieux préservée ».
Article rédigé par Lydia Wieczorek