Sur le site canadien « le devoir.com », un article intitulé « La prospérité de l’économie n’a pas rendu les travailleurs plus heureux » interpelle. Malgré la croissance économique des quinze dernières années au Canada, le sentiment de bien-être au travail semble ne pas avoir augmenté. Les Réseaux Canadiens de la Recherche en Politiques Publiques (RCRPP) « encouragent les entreprises à faire au plus vite de la question un élément majeur de leur stratégie d’affaires. Ils pressent également les gouvernements à prendre plus au sérieux la question, non pas seulement du nombre, mais aussi de la qualité des emplois, en commençant par la mesurer de façon plus fréquente et plus systématique. Ils recommandent enfin que l’on s’inspire d’expériences menées notamment au Royaume-Uni, où les gouvernements et les entreprises ont convenu d’objectifs volontaires, mais chiffrés, par exemple, en matière de réduction du stress au travail ».