Un salarié de l’usine de pneumatiques Continental, Christian Arnoldy, 52 ans et père de deux enfants, est décédé le 19 février 2007, vingt jours après un infarctus du myocarde dont il a été victime sur son lieu de travail. L’affaire vient de rebondir. La Sécurité Sociale, sur avis d’un de ses médecins-conseils, a reconnu la mort de Christian Arnoldy comme « accident du travail, dû notamment au stress chronique et aux multiples efforts engendrés dans sa fonction de chef d’équipe ».