Selon un article paru sur le site de « BBC News », le 22 août 2008, une récente étude menée par une équipe de chercheurs israéliens et publiée dans « BioMed Central journal », tendrait à montrer que le risque de développer un cancer du sein diminue chez les personnes optimistes. A l’inverse, la survenue d’éléments traumatisants comme un divorce ou la perte d’un proche augmenterait le risque de plus de 60%.
Le Docteur Ronit Peled, de l’Université Ben-Gourion, qui a dirigé cette étude, a déclaré que les femmes qui avaient été exposées à un certain nombre d’événements traumatisants doivent être considérées comme «à risque» par rapport au cancer du sein. D’autre part, selon ce chercheur, « un sentiment général d’optimisme et de bonheur peut jouer un rôle de protection ».