Les Echos


Sous le titre «
Stress : les salariés souffrent toujours d’un manque de reconnaissance », « Les Echos » du 17 février 2009, à travers un article de Nathalie Quéruel, expliquent que « le déséquilibre entre efforts et récompenses est au cœur de la souffrance au travail ».

Pour Monique Boutrand, secrétaire nationale à la CFDT-cadres, « La reconnaissance, cela passe d’abord par des mots et des relations de travail personnalisées »…

Pour l’ANDRH (Association Nationale des Directeurs et Responsables Ressources Humaines) qui, par le biais de sa « Commission nationale sur le stress » a mené une enquête sur le stress au travail en juin 2008, une sensibilisation est en train de s’opérer puisque 82% de ses membres jugent que « développer une vraie politique de reconnaissance au travail » est une arme contre le stress.


Pour certains DRH, la reconnaissance doit aussi le passer par un niveau de rémunération suffisant. Cependant, comme le souligne Nathalie Quéruel « la reconnaissance ne passe pas nécessairement par le registre financier ».

Un très bel exemple de ce que peut être aussi la reconnaissance chez RTE (Réseau de Transport d’Electricité », où sous l’impulsion de Jean-Pierre Frau, « un projet Management, motivation et qualité de vie au travail a vu le jour : « Les responsables des managers de proximité hiérarchisent désormais les tâches qu’ils leur confient, afin que ces derniers puissent consacrer du temps à leurs collaborateurs ». Prendre du temps pour les Hommes autant que pour les reportings semble un point de vue assez partagé.