Un article paru sur le site suisse « Le Matin », le 29 mars 2009, aborde une étude d’une équipe de sociologues de l’Université de Cambridge qui tendrait à prouver que la peur de perdre son emploi est plus stressante que le chômage.
Initialement, le niveau de stress serait identique mais diminuerait chez la personne licenciée au fur et à mesure que se construisent de nouvelles perspectives. Les perspectives, même illusoires, sont en effet essentielles pour nous protéger du stress. D’où l’intérêt d’un certain optimisme qui faisait dire à Henri Lôo : « la personnalité optimiste intervient comme appoint correcteur du stress ».