Un article paru sur le site du journal Métro le 15 mai 2009 s’appuie sur une étude menée par des chercheurs de l’université de Rochester, aux Etats-Unis pour montrer que les sources de bonheur sont plus en rapport avec la réussite de projets d’intérêt général que de succès personnels comme la richesse ou la célébrité.
« Ce qui permet d’être plus heureux, c’est principalement de se réaliser en tant qu’individu, d’entretenir des relations affectueuses, et de contribuer à la communauté » affirme Edward Deci, auteur de l’étude et professeur de psychologie et de sciences sociales.
Des propos en harmonie avec la célèbre phrase de Hans Selye sur les bienfaits liés à « l’altruisme égoïste » que Philippe Rodet traduit par « quand on fait le bien, on se fait du bien ».
Des propos également en harmonie avec ceux du professeur Stefan Einhorn qui explique que « La gentillesse authentique, c’est-à-dire non feinte et sans une quelconque attente de “ retour sur investissement ”, est sans doute la stratégie la plus habile pour mener une vie épanouie. Les bonnes actions sont toujours récompensées car les bienfaits que nous prodiguons aux autres nous reviennent d’une façon ou d’une autre. La bonté est une spirale vertueuse ».