Le site canadien « Canoë Santé » nous apprend qu’une étude menée à bien par le  Centre de recherche de l’Institut de Cardiologie de Montréal (ICM) et par le Département de psychiatrie de l’Université de Montréal (UdeM), a montré qu’en cas de stress les femmes qui ont une attitude défensive plus marquée présenteraient un risque cardiovasculaire plus important. Quant aux hommes, ce sont ceux qui ont plus de 50 ans et qui ont une faible attitude défensive qui sont les plus en dangers.

Cette étude vient d’être publiée dans le Journal of Psychophysiology.