Un article paru sur le site du journal « 20 minutes » le 27 juillet interpelle sur l’influence de l’affection chez le très jeune enfant sur le bien-être de l’adulte. En effet, selon une étude, menée auprès de 482 personnes dans l’Etat américain de Rhode Island, publiée le 27 juillet 2010 dans le Journal d’épidémiologie et de santé communautaire, une revue américaine, plus l’enfant est élevé dans la douceur, plus il est à même d’affronter les difficultés de la vie une fois adulte.
La qualité de la relation des bébés avec leur maman avait été testée à l’âge de 8 mois. Les bébés testés à huit mois l’ont ensuite été une fois adultes, à l’âge de 34 ans. Il s’avère que, indépendamment du milieu social, les adultes – dont les mères ont témoigné beaucoup d’affection quand ils avaient 8 mois – avaient les niveaux d’anxiété et de mal-être les plus bas.