Un article paru sur le site « Sciences et avenir » le 29 décembre 2010 traite de la récente thèse soutenue début décembre par Karin Zimmer, à la Norwegian School of Veterinary Science.
Selon cette thèse, des animaux exposés à des polluants organiques persistants (PCB, dioxines, fluranes, DDT…) durant les premiers stades de la vie (vie fœtale et période d’allaitement) entrainerait une modification du taux de cortisol (hormone du stress) dans le sang des fœtus mais aussi des animaux adultes.
Une exposition aux premiers stades de la vie pourrait donc avoir des conséquences sur la santé à long terme.