Dans L’Express du mercredi 21 septembre 2011, Isabelle Hennebelle nous livre une chronique intitulée « La fin de la carotte et du bâton« .
Elle cite notamment Philippe Rodet :
« Les entreprises doivent prendre conscience que les nouveaux ressorts de la motivation ne peuvent plus être extérieurs, mais intérieurs à l’individu. Ils doivent être rattachés aux qualités profondes de l’être humain », estime cet ancien médecin urgentiste à l’international, rompu aux situations où, de l’engagement ou non des équipes, peuvent dépendre des vies. »