Un article publié sur le site canadien « Psychomédia », le 9 mai 2015, aborde le lien entre la fréquence de certaines pathologies (céphalées, insomnie, troubles digestifs et pathologies cardiovasculaires) et la tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions.
Une étude publiée dans le « Journal of Behavioral Medicine » par la psychologue Fuschia Sirois de l’Université Bishop au Québec, a montré qu’après une comparaison entre un groupe de personnes atteint d’hypertension ou de maladie cardiovasculaire, et un deuxième groupe de personnes en bonne santé, le groupe atteint d’une pathologie cardiovasculaire avait une tendance supérieure à la procrastination.
Les stratégies d’adaptation au stress étaient également moins efficaces, avec notamment une tendance à se blâmer.
Article rédigé par Lydia Wieczorek