Un article publié sur le site « Santé Log » le 19 juillet aborde une étude menée par des chercheurs de l’Université de Lund en Suède et publiée dans le « Journal of Clinical Oncology », étude qui traduit l’influence du taux d’enképhalines (un peptide endogène de la famille des endorphines qui diminue le niveau de douleur et de stress ) sur le risque de cancer du sein.
En résumé, plus le taux d’enképhalines serait bas, plus le niveau de stress serait élevé et plus le risque de cancer du sein serait grand. Par rapport aux femmes ayant les taux d’enképhalines les plus élevés, le risque serait multiplié par trois chez les femmes ayant les taux les plus bas.
Cette étude a deux intérêts, d’une part faciliter la détection des femmes à risque grâce au taux sanguin d’enképhalines et d’autre part aider les femmes à risque à diminuer leur niveau de stress.