Un article paru sur le site du journal « Metronews » le 6 octobre 2015, intitulé « L’étude santé du jour : les jeunes maigrissent moins facilement que leurs parents », aborde les résultats d’une étude menée sur deux générations, les « baby-boomers » et la génération « Y », et leur capacité à perdre du poids.
Selon les travaux des chercheurs canadiens, surveiller son alimentation et pratiquer une activité sportive régulière ne seraient pas les seuls facteurs déterminant la perte de poids. Les individus nés après la seconde guerre mondiale, et ceux âgés actuellement de 15 à 35 ans, n’auraient ainsi pas la même capacité à maigrir. Les « baby-boomers » auraient en effet tendance à prendre moins d’embonpoint que les jeunes issus la génération « Y ».
« Si toutes les études déclarent que bien manger et bouger favorise la disparition des kilos superflus, cette dernière a révélé que cette antienne ne s’avérait plus aussi efficace sur le long terme ».
Les chercheurs indiquent que l’évolution de notre mode de vie serait à l’origine d’une modification de notre métabolisme, et que les facteurs tels que le manque de sommeil et le stress empêcheraient les nouvelles générations de maigrir à l’égal de leurs aînés, beaucoup moins exposés à l’époque.
Nous avions déjà abordé les effets du stress sur la prise de poids dans : « Dispute, stress, ghréline et prise de poids » et « Le stress favoriserait la prise de poids chez les femmes « .
Article rédigé par Julie Pillon