Une récente étude menée par des chercheurs de la Boston University School of Public Health auprès de femmes américaines et publiée dans la revue Environmental Health Perspectives le 17 juillet 2024 montre l’impact bénéfique de la nature sur la protection du déclin cognitif. Elle a été abordée sur le site Version Femina.
Cette étude a montré qu’une exposition plus importante à la verdure dès la cinquantaine permettait d’allier un niveau de performances cognitives plus élevé et un moindre déclin cognitif.
Concrètement, il a été montré que le fait de vivre dans des endroits plus végétalisés pouvait ralentir le déclin cognitif de 8 mois par an. Cela étant encore plus net pour les personnes vivant dans des quartiers économiquement plus démunis et très peuplés.